Au lever du jour.
Il nous réveille après le zoizo blanc mais lui est plus puissant. Deux, trois et quatre… finalement combien sont-ils ?
Il chante la journée, pour signaler ce qu’il a trouvé : une papaye, une mangue, une araignée, … en tous cas il a bien mangé.
Il chante en ville, à la plage, dans les hauts, dans les forêts. Partout est son décor. Sauf peut-être notre volcan, mais pour combien de temps encore ?
Il chante le soir pour ne pas se faire oublier. Pourtant nul ne peut l’ignorer tant sa présence est remarquée.
Laisse de la place bel étranger, tu n’es pas le seul être ailé… Sinon gare au courroux que tu vas attirer.
Bravo, continuez. Comme Nicolas HULOT, vous nous montrez l’incroyable beauté de la Nature.
Un jour peut-être les humains finiront par comprendre que rien n’est plus beau.
Le paradis est sur Terre. J’avoue que je ne comprends pas pourquoi nous l’avons oub.
Merci beaucoup
personnellement j’aime beaucoup le boulboul : il semble toujours gai et satisfait de son sort; il est paisible, souvent occupé à explorer des coroles de fleurs ou leur tige; il n’a pas besoin d’être dominateur : il est, point, et ça, cette autorité naturelle, ça a quelque chose d’apaisant dans notre monde incohérent et agité…..